La destitution de Trump est imminente. Un 2ème lanceur d’alerte s’est présenté après avoir parlé à l’inspecteur général a déclaré aujourd’hui son avocat. Mark Zaid, l’avocat représentant le dénonciateur qui a tiré la sonnette d’alarme sur les relations du président Donald Trump avec l’Ukraine et qui a déclenché une enquête de mise en accusation, a déclaré à ABC News qu’il représentait maintenant un deuxième lanceur d’alerte.
la deuxième personne – également décrite comme un responsable des services de renseignement – a une connaissance directe de certaines des allégations énoncées dans la plainte initiale et a été interrogée par le chef du bureau de surveillance interne et de renseignement américaine.
L’existence d’un deuxième lanceur d’alerte – en particulier si elle peut parler directement d’événements liés au président ukrainien impliquant le président – pourrait ternir l’insistance répétée de Trump sur le fait que la plainte initiale, publiée le 26 septembre, était “totalement inexacte”.
Cette plainte initiale de sept pages alléguait que Trump avait poussé une puissance étrangère à enquêter sur son rival politique, Joe Biden, et son fils Hunter, que de hauts responsables de la Maison-Blanche avaient tenté de “verrouiller” tous les enregistrements de l’appel téléphonique.
Aux Etats Unis, selon la Commission électorale fédérale, il est illégal pour quiconque de recevoir quelque chose de valeur d’un ressortissant étranger dans le cadre d’une élection américaine. Même s’il n’est pas immédiatement évident de savoir si Trump ou d’autres fonctionnaires ont enfreint la loi dans son traitement de l’Ukraine, cela n’aura peut-être pas d’importance.
La Constitution autorise le Congrès à décider de ce qui constitue un délit de destitution. Trump a nié tout acte répréhensible, appelant l’appel téléphonique “parfait”.
Avec les évidences, le congrès dirigé par les démocrates est sûre de le destituer.
