Les nombreux cas de malversations financières au sommet de l’État ne sont pas du goût des populations. Ces dernières, qui éprouvent beaucoup de difficultés au quotidien pour avoir le juste nécessaire pour leur servie, aimeraient voir le président Macky Sall équivaloir son slogan la patrie avant le parti pour une gestion plus sobre des deniers publics. Comme il avait semblé être le cas alors qu’il était fraîchement élu à la tête de l’État du Sénégal.
C’est le constat que nous avons fait arrêter issa les opinions de certains citoyens.
« Je ne comprends pas que des étudiants de médecins de travailleurs de différents syndicats soit obligé d’engager des manifestations pour une question d’amélioration des conditions de travail alors que le train devis de l’État faire des millions de mécontents », fustige Abdul Aziz Seck.
Lire aussi : https://old.senalioune.com/les-vendeurs-a-la-sauvette-une-activite-a-risque-mais-qui-nourrit-bien-son-homme
Le septennat du président Macky Sall est considérée par bon nombre de sénégalais comme un régime d’austérité vu la conjoncture et la cherté de la vie qui prévaut dans le pays.
Certains citoyens qui souhaiteraient se faire entendre par le président et les autorités appelle ces derniers à plus d’intégrité dans la gestion des caisses publiques.
« Depuis la prise du pouvoir par Macky Sall en 2012 la vie est très chère au Sénégal, le Macky Sall pouvait, jusque-là, se vanter de payer régulièrement les fonctionnaires mais ce que nous constatons aujourd’hui c’est que ce sont les fonctionnaires qui sont les premiers à se plaindre de mauvaises conditions de travail, en plus de ne pas être payés », affirme ses citoyens sous le couvert de l’anonymat.
Avant de poursuivre : « Les autorités ont l’obligation légale de permettre à ses travailleurs de percevoir les salaires, chose parfaite, celle-ci se permettent de détourner des fonds pour d’autres fins c’est révoltant c’est vraiment écoeurant. »
Chaque jour que Dieu fait la presse locale fait état de manifestations syndicales pendant qu’au sommet de, l’État les scandales financiers sont monnaie courante.