Je le félicite de n’avoir pas tenté d’empêcher la tenue d’un second tour qu’il a remporté avec brio. Le faible taux de participation est imputable à tous les acteurs du pays.
En démocratie, l’essentiel est d’avoir la majorité de ceux qui ont voulu ou pu prendre part au vote. Avec l’état sécuritaire actuel du Mali, exiger la tenue d’une élection présidentielle à date due, ce que le gouvernement a réussi, et vouloir vaille que vaille assurer une participation massive des électeurs dans tous les coins et recoins du pays relève de l’irealisme.
Que l’opposition ne parvienne pas à faire bloc au second tour, elle a ses raisons, mais doit en assumer les conséquences favorables au Président sortant et sa coalition.
Que des opposants renvoient dos à dos le Président sortant et le chef de l’opposition qualifié pour le deuxième tour et ainsi refuser de donner une consigne de vote n’est rien d’autre que voter pour le maintien du sortant.
IBK a le grand mérite d’avoir veillé au respect du calendrier républicain.
IBK a le mérite de n’avoir rien fait pour entraver les candidatures de ses anciens ministres qui l’ont quitté à quelques mois de l’élection pour se présenter contre lui.
Osons espérer que ce n’était pas du “Combine beurreh”.
BRAVO IBK et bonne chance pour la suite tout en vous exhortant à s’ouvrir à toutes les forces vives de la nation malienne pour reconstruire ce beau pays qui a besoin des compétences et de l’engagement de tous ses enfants.
Le débat sur votre nouvelle légitimité que certains justifient par le faible taux de participation n’est qu’une coquetterie et un luxe dans le contexte de grande insécurité du Mali. La plus belle dame ne peut donner que ce qu’elle a.
L'Arabie saoudite a déclaré, lundi, qu'elle accueillerait les pèlerins pour accomplir le pèlerinage du Hajj dans les mêmes proportions qu'avant l'apparition de...