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Sénégal: Les bus transport en commun, Tueurs en commun, Qui sont les responsables?

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bus en transport commun

Surcharge, excès de vitesse, indispline ce sont les expressions que les usagers utilisent pour qualifier les chauffeurs des abus transport en commun.

Dans le contexte d’un accident abracadabrant d’un TATA ce samedi au rond point de Patte d’oie.
Il s’agit du ligne 61 qui ralli le trajectoire YOFF – KEUR MASSAR, le bus est tombé sur terre depuis le pont haute de sa taille 8 mettre environ.

Saydou ly est un marchand ambulant, vendeur de tissus était à quelques cinq cents mètres des lieux du drame quand l’accident a eu lieu << le bus est passé devant moi avant de monté sur le pont, il roulait un peu vite et il était rempli de personnes. Alors moi j’ai pas vu quand le bus est tombé sur le pont, mais une fois que je suis arrivé la dessus, les Gens ont dit que le bus voulais éviter un moto alors que le chauffeur roulait à vive allure sur le pont, et malheureusement il a mal viré. Parceque il a heurté les barrières et tombé par terre>> nous témoigne le jeune homme saydou.

L’accident est très grave certe aucune perte humaine n’a été enregistrée mais plus d’une quarantaine de personnes ont été blessées dont 6 dans un état très critique. Les blessés Ont été vite acheminer par les sapeurs pompiers à l’hôpital principal et d autres blessés ont été évacués dans les hôpitaux périphériques.
Cette accident reste toujours le sujet d’actualité chez les vendeurs qui sont installés à patte d’oie, le débat est sur toute les lèvres.

Cette vendeuse de beignets qui souhaite garder son nom à l’anonymat affirme que les accidents sont très fréquents sur la route qui sépare les véhicules qui se dirigent vers grand Yoff, école Mariama Niass et le Sens contraire vers camberén. D’après la dame, le virage est très dangereux et les chauffeurs roule très vite.

Les routes sénégalaises deviennent des véritables lieu où les citoyens versent beaucoup de sang.
Chaque année on enregistre des centaines de victimes et des milliers de blessés.

D’après la direction des routes, 92% des accidents automobile sont causés par la défaillance des chauffeurs. Certaines de ces derniers conduisent comme ils veulent, ils ne respectent jamais le code de la route. D’autre n’ont même pas de permis de conduite si non ils l’ont obtenu de façon illégal.

Cependant, si 92 % des accidents incombent entièrement la responsabilité des chauffeurs, qui prend alors la responsabilité des 8% restant qui n’est pas à minimiser ?

L’État ne sera nullement pas épargné.
Qui donne les faux permis de conduite aux chauffeurs ? C’est la question qu’à posé kabir Diop un habitant des HLM qui prend presque tous les jours la ligne 75 pour joindre son lieux de travail en ville.

Il a aussi soulevé un autre problème relevant entièrement la faute de l’État, il s’agit des hommes de tenu qui se pointe tous les jours sur le chemin noir, qui laisse les bus roulait trop vite, avec des surcharges indescriptible.

Il semble d’ailleurs que les accidents font parties désormais du quotidien des Sénégalais car chaque jour que dieu fait on entend un accident quelques part dans le territoire national du pays.
Les routes numéro 1 et 2 c’est à dire celles qui s’achemine respectivement vers Kaolack et tamba counda sont les plus rouge de sang humain.

Autrement dit les accidents sont beaucoup plus fréquents là-bas. Celà s’explique par deux principales raisons : la premier est que ces routes sont près que impraticable dû à leurs destructions.
La seconde est que les chauffeurs ne prennent pas le temps de se reposer, au point de ne plus pouvoir se tenir devant le volant.
Et pourtant suite à ces accidents répétitif, l État avait pris pas mal de mesures pour remédier le fléau, parmi ces mesures on peut noté l’âge minimal que doit avoir un chauffeur pour pouvoir mettre la main sur volant d’un véhicule de transport en commun ; planché à 30 ans.

Mais aussi les autorités compétentes avaient promis d’appliquer les permis à points ! Où en sont t’il sur la question ?
Quoiqu’il en soit les vrais victimes reste bien évidemment les populations.